Paiements électroniques obligatoires : le moment de répondre à chaque client

Bonne nouvelle pour ceux qui n'ont que rarement ou jamais d'argent liquide en poche. Depuis cet été, le gouvernement fédéral oblige les entreprises à proposer au moins un mode de paiement électronique. « Pourquoi ne pas opter tout à coup pour une combinaison de tous les modes de paiement, de la carte au téléphone portable ? », déclare Payworld Belgium.

Depuis la crise du coronavirus, les clients ont de moins en moins d'argent liquide dans leurs poches et s'attendent de plus en plus à pouvoir payer par voie électronique. Désormais, ils pourront le faire partout, car depuis le 1er juillet, toutes les entreprises en contact avec les consommateurs doivent proposer au moins une solution de paiement électronique. Cette nouvelle loi fédérale s'applique aussi bien aux détaillants traditionnels qu'aux petits indépendants, aux professions libérales, aux vendeurs sur les marchés et même aux associations.

Elle a déjà séduit les consommateurs. « Il est certain que ces dernières années, nous avons vu la popularité des paiements électroniques augmenter », déclare Ben Cauwelier, Managing Director de Payworld Belgium. « Une étude récente montre que sur l'ensemble des transactions commerciales en Europe, seulement 18 % se font encore en espèces. Il y a dix ans, nous en étions encore à 50 %.

Les paiements électroniques présentent donc de nombreux avantages : ils sont plus pratiques, plus hygiéniques et plus sûrs que l'argent liquide. Et puis il y a le commerce électronique en pleine expansion qui a fait des paiements électroniques une habitude. « Pourtant, les achats en ligne ne représentent que 10 % de l'ensemble des transactions européennes. Pas moins de 90 % des transactions se font encore directement, en face à face, entre le commerçant et le client, souligne Ben Cauwelier. C'est là que les entrepreneurs feront désormais la différence en proposant également des modes de paiement autres que l'argent liquide.

Ceux qui décident de se conformer strictement à la nouvelle réglementation s'en sortiront s'ils proposent une seule option de paiement électronique. D'un autre côté, c'est le bon moment pour être encore plus à l'écoute du client individuel, conseille Ben Cauwelier. Sinon, ils entreront dans le magasin sans argent liquide, mais avec l'idée que le paiement fonctionnera, pour finalement être confrontés à une option de paiement qu'ils n'utilisent pas. Alors pourquoi ne pas profiter de ce moment pour offrir un plus large éventail d'options de paiement électronique ?

Ben Cauwelier écarte d'emblée les craintes des commerçants qui pensent que cela coûtera beaucoup d'argent et d'appareils : Sur notre terminal Payworld, vous combinez toutes les méthodes de paiement, de la carte bancaire classique aux paiements sans contact par smartphone, en passant par les crypto-monnaies. C'est le client qui choisit ! Et en coulisses, les choses se passent tout aussi bien pour le commerçant. Que les paiements aient été effectués par carte bancaire, par smartphone ou même par l'intermédiaire de la boutique en ligne, tout est payé ensemble et rapporté de manière uniforme, ce qui vous permet de l'intégrer facilement dans votre comptabilité.

Avec son terminal de paiement unique, Payworld souhaite aussi dissiper les craintes concernant le coût des paiements électroniques : De l'extérieur, il ressemble à un terminal ordinaire, mais sa configuration nous permet de tout contrôler à distance et, le cas échéant, de procéder à des ajustements. C'est beaucoup plus rapide et moins coûteux qu'une intervention humaine. Grâce à la commande décentralisée, les extensions se font également en douceur, d'une simple pression sur un bouton, ce qui n'est pas cher. Peu importe que vous ayez un, deux ou dix appareils et le nombre de transactions qu'ils traitent, nous ne comptons que le lien que vous établissez avec notre cloud.

Le fait que nous sortirons bientôt tous notre carte bancaire ou notre smartphone pour régler nos achats est aussi une bonne chose pour les entrepreneurs, assure Ben Cauwelier : Le chiffre d’affaires augmentera parce que vous attirerez plus de clients qui, maintenant que vous avez éliminé toutes les barrières, dépenseront plus. Pensez au vendeur qui peut vendre une paire de chaussures supplémentaire parce qu'il accepte les cartes Visa ou à l'entrepreneur en jardinage qui peut rapidement vendre de l'engrais supplémentaire lors de l'entretien annuel parce qu'il a son terminal de paiement mobile dans la poche. D'ailleurs, ces terminaux ne se contentent pas de recevoir des paiements. Ils permettent aussi d'exécuter d'autres applications. C'est pratique pour le secteur Horeca, par exemple, où vous pouvez prendre des commandes, les transmettre à la cuisine et payer à l'aide du même appareil. De cette manière, vous économisez également du personnel, car il n'y a souvent qu'une seule personne pour les commandes et une seule personne pour les paiements.

L'avenir des paiements est donc axé sur la commodité: D'ici cinq ans, Payworld sera, je l'espère, très présent mais à peine visible, résume Ben Cauwelier en riant. Nous visons un mode de paiement fluide. L'objectif principal est la sécurité, car moins il y a d'actions, d'interactions et de points de contrôle, plus la voie est ouverte à la fraude. C'est justement cette combinaison de commodité et de sécurité des paiements que nous voulons offrir avec notre technologie qui peut traiter les méthodes de paiement d'aujourd'hui, ainsi que celles de demain, de manière sûre et correcte.